jolie voyance
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Elle insiste sur la dimension humaine de la voyance gratuite, accentuant qu’il ne s’agit pas d’un simple “coup marketing”, mais d’un investissement visant à bien instaurer la confiance. Le journaliste émerge plu par le flux constant de invités, qu’il observe en poignant discrètement deux ou trois annotations. Marianne propose alors au journaliste de s’entretenir avec un voyant dispo. Olivier, un peu nerveux, s’avance en plus, prêt à bien faire portrait à ses interrogations. Assis les yeux dans les yeux, ils entament une litige. Le journaliste lui demande comment il gère la multitude des cas rencontrés. Olivier avoue que c’est précisément la ainargentage de son job : chaque individu est environnement spécifique, avec ses tristesses, ses phobies et ses desiderata. La gratuité initiale incite une multitude de personnes à entraîner l’expérience, ce qui élargit énormément la palette des arguments. Le journaliste s’intéresse ensuite au processus : “Comment distinguez-vous un classant vrai d’une personne qui ne acte que dénicher vos capacités ? ” Olivier sourit, répondant que la question ne se pose pas de cette caractère. Même les plus sceptiques méritent une écoute bénin. L’essentiel, c’est de envoyer de quelques possibilités constructives, d'exhiber que la voyance n’a rien de magique ou d’infaillible, mais peut proposer un clarté instructif lorsqu’elle est pratiquée avec sérieux. Alors qu’ils discutent, une incitation urgent interrompt brièvement l’échange. Olivier devra consacrer en relation une consultante angoissée. Il s’excuse à l'intention du journaliste, qui profite de cette période pour interviewer Camille et Baptiste. Pendant cette époque, Olivier découvre une femme nommée Florence, bouleversée en arrière la rupture soudaine rendez-vous. 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